Les bienfaits de la vaccination sèment le doute. L’Agence Nationale de la Sécurité des Médicaments vient d’annoncer les décès de 2 nourrissons en 2012 et en 2014 suite à l’administration du vaccin Rotateq® et Rotarix® (1).

Le plus souvent présentés comme « sans danger », les vaccins ne sont pourtant pas si anodins. Les accidents post-vaccinaux se répètent, et cette annonce nous le rappelle une fois de plus.

D’après le compte rendu du Comité Technique de Pharmacovigilance (CTPV), transmis à la Direction Générale de la Santé le 10 février 2015, il apparaît que 2 nourrissons sont décédés en 2012 et 2014 d’une invagination intestinale aiguë; effet indésirable inscrit sur la notice des vaccins oraux Rotateq® et Rotarix®, vaccins indiqués dans la prévention des infections à rotavirus.

508 cas d’effets indésirables dont 201 cas graves ont été notifiés depuis le début de la commercialisation en France (soit mai 2006 pour le vaccin Rotarix® et janvier 2007 pour le vaccin Rotateq®).

Toutefois, selon le Service de pharmacologie clinique et le Centre régional de pharmacovigilance et d’informations sur le médicament de Tours, seulement 1 à 10 % des cas d’effets indésirables graves sont notifiés (3). Soit entre 1809 et 19889 cas graves non déclarés, sur la base des 201 cas graves déclarés.

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